Des robots géants, délirants et parfois inutiles

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Après les robots qui vous chouchoutent, découvrez notre seconde série, les robots ludiques. Des robots géants, un robot tricheur, un robot espion et un robot-rêveur, tout droit sortis de l'imaginaire d'ingénieurs-bidouilleurs nourris aux lectures d'Isaac Asimov. Avec tous on joue et on s’éclate, avec certains on se fait un peu peur, et d'autres vous laissent pantois. Voici cinq exemples de ce que vous pouvez faire avec ces robots improbables et totalement incroyables !



Jouer sans fin à Shifumi


Le Shifumi, connu aussi sous le nom de « pierre-feuille-ciseaux » (et en anglais « janken ») est un jeu vieux comme le monde, mais il amuse toujours. Désormais, il existe sous la forme surprenante d’un robot-main. Seul hic, on le soupçonne de tricher un peu grâce à sa capacité d'analyse extra-humaine (quelques millisecondes). Il gagne à tous les coups… par anticipation. Ses créateurs du Ishikawa Oku Laboratory (Japon) l'ont d'ailleurs conçu ainsi. Vous n'avez donc aucune chance de gagner. Mais ce robot-tricheur, infatigable, pourrait devenir un camarade de jeu idéal...


Petite partie de feuille-caillou-ciseaux entre robot-main et humain.


Faire une descente en ville, planqué dans un robot maousse costaud...


Imaginez l'effet que ferait un maousse robot descendant les grands boulevards en roulant des mécaniques et en moulinant des bras. Ce robot existe, il s'appelle Kuratas et c'est vrai qu'il fait un peu peur quand on ne le connait pas. Kuratas sort tout droit des labos de Suidobashi Heavy Industry (Tokyo) et ressemble furieusement au robot géant qui permet au héros de District 9 de laisser les « crevettes » repartir sur leur planète. Il mesure 3,90 mètres, possède quatre roues, un moteur diesel et quelques accessoires dont une réplique de Gatling gun (c’est-à-dire de la plus célèbre des mitrailleuses sur roues de la fin du XIXe siècle). Mais il coûte la bagatelle de 100 millions de yen (10,1 millions d'euros). Et pour cause : Kuratas est, de l'aveu même de ses concepteurs, « une oeuvre d'art ».


Mais c'est vous qui le pilotez, caché dans le cockpit ou depuis le trottoir à partir de votre smartphone. Et selon l'humeur, vous pourrez le customiser en version rose ou camouflage et l'équiper au choix d'un pistolet à eau ou d'une serpillère pour faire le ménage à vitesse grand V.  Enfin, si vous croisez des amis, il pourra (enfin vous pourrez) les appeler par leur nom. Mortel non ?


Kuratas, le robot géant qui se balade (presque) tout seul.


Ou chevauchant une araignée géante


Toujours dans l'idée d'impressionner la galerie, vous pourriez aussi grimper sur le dos d'une araignée de fer géante. La créature n'est encore qu'à l'état de projet dans le labo du Project Hexapod. Les trois roboticiens qui l'ont conçue l'ont appellée Stompy.  Il s'agit, pour être précis d'« un robot open-source de 5 mètres de large et 3 mètres de haut, pesant 2 tonnes, doté de six jambes hydrauliques, propulsé par un moteur au propane de 135 chevaux, et qu'on peut chevaucher ». C'est donc une affaire très sérieuse et l'objectif est d'utiliser de tels robots par exemple sur Mars. Mais bon, on peut toujours en détourner la finalité et s'amuser à trouver à Stompy des utilisations terriennes et délirantes. Comme se balader à la Foire du Trône ou sur la Promenade des Anglais.


Stompy, une drôle de monture, pour explorer Mars ou épater la galerie.


Piloter un minitank espion et prendre des photos d'une bête féroce en toute sécurité


Ce petit robot espion baptisé Rover App-Controlled Spy Tank n'a l'air de rien, mais on peut programmer ses trajets et le piloter depuis un appareil iOs (tablette ou smartphone) dont on se servira comme d'un volant en mode G-Drive. Il est même équipé d'un module de vision nocturne. La portée du pilotage à distance est réduite à quelques centaines de mètres. Suffisant pour s'approcher de toute bête féroce et la prendre en photo en parfaite sécurité.


Et si chacun lâche son Spy Tank, on peut s'amuser à coloniser un espace.


Passer une soirée avec un auteur de science-fiction disparu


C'est le summum du robot, le top du top cybernétique. Ce clone du mythique et célèbre auteur de science-fiction Philip K. Dick (PKD), dont les textes ont donné au cinéma Blade Runner ou Minority Report, a été mis en point en 2005 par la société Hanson Robotics et quelques autres sommités américaines de la robotique et de l'Intelligence artificielle (IA). Comme on peut s'y attendre, l'androïde PKD répond quand on lui parle. Des réponses piochées dans ses propres œuvres par le logiciel d’IA qui le pilote, et parfois sans queue ni tête. C'est le cas de le dire, car en 2006, PKD a pris l'avion, perdu sa tête dans un coffre à bagages et le corps ne serait jamais ressorti de la soute. Une façon dickienne de s'échapper une fois de plus d'une humaine réalité trop univoque. Il faudra donc vous contenter de rêver (en sa compagnie) de moutons électriques... A moins que vous n'ayez la chance de croiser un jour le second clone PKD reconstruit en 2010 à Amsterdam. Mais ses apparitions publiques se font très rares...


 


Conversation avec K Dick l'androïde avant sa disparition


Des robots géants, délirants et parfois inutiles Des robots géants, délirants et parfois inutiles Reviewed by Pakar Pupuk Tanaman on 5/30/2013 Rating: 5

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